#Vue paso a paso
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28 janvier:
"No Rest for the Best", comme disent les États-Uniens majoritairement présents ici, et j'entame la fameuse randonnée "Vuelta al Huemul" dont je n'avais aperçu que la moitié en 2020, stoppé physiquement par le vent à mi-chemin. C'est une boucle de 70km et 2700m d+ qui se fait normalement en 4 jours, mais dont 3 sont aussi faisables. Après 10km de marche je me sens particulièrement en forme, j'avais déjà étudié les statistiques pour faire la boucle en 2 jours, je suis frustré de mes longues randonnées précédentes d'être stoppé par des sentiers difficilement praticables, je sais que celui-ci ne l'est pas, je ne serai probablement plus jamais aussi entraîné que maintenant, j'ai envie de briser mes limites, c'est décidé: je ferai la boucle en 2 jours. Mais restons humble et considérons tous les risques d'échecs. Le 1er qui me vient en tête se sont les crampes ou douleurs aux orteils pouvant m'immobiliser en fin de journée. Je fais donc une sieste technique arrivé au 1er campement (la fin du J1 si on fait la boucle en 4 jours) et je reprends ma route pour le 2e campement. La sieste de 40' m'ayant remplie toutes les batteries je resterai en forme toute la journée. Sur le chemin je traverse une petite gorge creusée par une rivière à l'aide d'une tyrolienne (j'avais loué un harnais), je longe une langue de glacier, double des gens qui ont commencé la veille la boucle, monte au col du Paso Viento et risque un arrêt cardiaque en voyant la vue derrière. Je pense que c'est la plus belle vue de ma vie... certains moines bouddhistes ont besoin de plusieurs réincarnations pour atteindre le nirvana, alors qu'il suffit d'un billet d'avion, un bus, 20km de marche, du matos de bivouac et un peu de dulce de leche pour se rendre où je me trouve actuellement en extase. Sorti de mon coma je continue vers le campement en ayant comme vue toujours le même paysage que je ne vais même pas essayer de décrire, même Proust ou Tesson n'y arriveraient pas. Comme j'arrive parmis les derniers au campement (je n'ai pas doublé tout le monde non plus) j'ai un spot de merde pour la tente, dans un endroit exposé au vent. Rappelons que je viens de passé le Paso "Viento" dans une région où Eole serait intimidé.
Bilan: 29km, 1500m d+
29 janvier:
Au réveil je me dis que je dois écrire une lettre à Décathlon pour leur signaler que leur tente ne tient pas des vents à 70km/h comme certifié, mais plutôt du 400km/h (c'est du moins ce qu'il m'a paru). J'en étais arrivé à un stade pendant ma nuit d'insomnie où je me disais que si elle craque "que" au bout de 4h (vers 02h00), je serai suffisamment reposé pour commencer mon J2 à la frontale. Finalement je démarre vers 06h45 alors que tout le monde dort toujours, je longe le paysage incroyable, monte au Paso Huemul et rejoins le terrain connu de 2020. Je fais le bonus du Mirador del Condor et je me retrouve devant un autre angle pour admirer le paysage toujours aussi féerique. Il souffle tellement fort j'ai l'impression d'être derrière un moteur d'avion lors d'un décollage. Puis j'entame une descente casse-gueule (mais non dangereuse) vers le 3e camping. Comme hier j'y fait une sieste avant de reprendre le sentier. 11km plus loin je passe le 2e gué grâce à une tyrolienne, et c'est à ce moment que je réalise que je vais réussir à finir la boucle comme prévu en 2 jours. Les 12km restants sont ennuyeux et j'accélère le pas pour vite me rapprocher de ma bière qui m'attend. Arrivé à El Chalten je suis fier de moi, j'ai explosé mon record personnel de distance parcouru en 2 jours: 70km ! Dont 41 juste le J2. Je ne me douche même pas, j'ai terriblement envie de ma bière et d'une pizza avant de me coucher au camping de la ville. En gonflant mon matelas je constate qu'il s'est encore dégradé, maintenant il y a 3 tubes qui ont fusionnés pour faire un gros cylindre. Cela devient très inconfortable d'y dormir dessus. Je décide donc de dormir à même le sol à partir de maintenant; s'il gèle alors je choisirai l'inconfort du matelas au froid du sol.
Bilan: 41km, 1100m d+
30 janvier :
Journée dediée au repos en attendant mon bus pour El Calafate. Aujourd'hui je la prends cette douche, et avec du savon s'il vous plaît. J'arrive à destination vers 20h00, le temps de me faire enfin un bon restaurant avant de reprendre un bus à 03h00 pour Rio Gallegos.
31 janvier:
Après une micro sieste à la gare routière, je prends mon bus pour Rio Gallegos. Arrivé à 07h00 et j'enchaîne avec un autre bus à 08h00 pour ma destination: Ushuaia. Ce n'est qu'à 600km (équivalent Paris - Grenoble) mais on mettra 15 heures pour y arriver, avec principalement de la pampa à traverser. Pour cause, un bout du Chili bloque l'accès direct à la Terre de feu, donc 2 fois la frontière à traverser. Et comme ce n'est pas déjà assez pénible de subir les contraintes douanière délirantes des chiliens, un des passagers du bus avait du canabis médicinale dans ses bagages et que les chiens ont reniflé... Autre obstacle: le détroit de Magellan. Bon du coup je repense à ce monsieur qui s'est perdu dans la région en pensant être au Cap Horn (faut ouvrir une carte pour comprendre sa surprise lorsqu'il comprit qu'il n'avait pas contourné l'Amérique) et je relativise sur mon temps de trajet. Arrivé à 23h00 je vais à mon hostel et je dors sur un lit, un vrai, sous un toit, derrière quatre surfaces verticales formant un carré bloquant le vent et à côté d'un mec qui ronfle.
1er février:
Le mec qui ronfle ne respire plus, quelqu'un a du l'étranger la nuit. Après quelques occupations logistiques, je pars pour le Cerro Medio, accessible directement depuis la ville. A 300m du sommet le vent est tellement fort que j'en rigole, mais pas trop, en ouvrant en grand la bouche je risque de me disloquer la mâchoire avec la force de l'air. Photo et retour au chaud dans mon hostel. Ushuaia étant hors de prix je ne me ferai aucun resto et utiliserai la cuisine. La ville, sans être intrasequement belle, est très agréable du fait qu'elle se trouve au bord du détroit de Beagle et dans les Andes. On y trouve une vrai vie locale, mais aussi beaucoup de touristes, ceux qu'on n'aime pas. La majorités est ici uniquement pour le nom de la ville, est venu en avions, fera une croisière vers l'Antarctique (5000eur mini), dépense sans compter faisant grimper les prix (pauvres touristes argentins), se déplace qu'en groupe de 4000 (en particulier un pays d'Orient), n'a aucun code de la randonnée (dire bonjour, ramasser ses déchets, ne pas chier aux campings, etc), bref, Ushuaia fait "trop" rêver.
Bilan: 14km, 900m d+
2 février:
Je me ballade dans la ville pour y photographier les montagnes avoisinantes depuis différents points de vue et c'est très beaux. Ca fait bizarre de se dire que cette même chaîne de montagne où je me baladais à 6000m d'altitude il y a 2-3 mois, plonge ici dans l'océan en formant des canaux et fjords rappelant la Norvège. L'après midi il pleut et j'en profite pour visiter l'excellent Museo Marítimo de Ushuaia, qui regroupent dans chaque aile de l'ancienne prison des expositions sur la région: histoire des explorations maritime, conquête de l'Antarctique, vies des bagnards et prisonniers (qui me fait relativiser sur la qualité de mes repas en bivouac), artistes en Terre de feu, une ailes laissée telle qu'elle. J'en ressors agréablement surpris de la qualité de ce musée. Rappelons que, comme la Guyane, cette région fut construite par des bagnards.
3 février:
Je me réveil pour la 3e nuit consecutive dans un hostel; trop de luxe, faut que je retrouve la nature. Bizarrement je dors très bien mais au réveil j'ai légèrement mal au dos... Je pense que je dois réapprendre à ma colonne vertébrale comment dormir sur un vrai matelas.
La matinée je fais l'excursion phare du coin: ballade en bateau dans le détroit de Beagle jusqu'au phare (...) du bout du monde, visite des lions de mer et cormorans, ballade sur une île, et moi je m'offre en bonus une baignade sur une plage isolée à l'écart du groupe que j'ai abandonné. Je me serai baigné au 69e parallèle Nord en Norvège, ici je me baigne au 55e parallèle Sud. J'en suis satisfait. L'après midi j'enchaîne avec une randonnée jusqu'à la Laguna Esmeralda puis continue jusqu'à la Laguna Ojo Del Albino où s'y jette un petit glacier. La météo est belle et les paysages sont sublimes. Phrase du jour: quand il fait beau, c'est beau. De retour à Esmeralda j'y plante ma tente. Je constate que le "camping" est remplis de PQ usagé ce qui me fait me decaller hors de la zone abritée (mais propre). Si un jour je suis président, je me battrai pour faire passer 2 lois: interdiction aux cons de faire des enfants, et interdictions aux cons de randonner dans la nature (sans ordre de priorité). Bref, les lumières proposées par le couché de soleil sont sublimes et tout le décors où je me trouve s'en retrouve enchanté. Au moment de préparer mon dîner mon réchaud rend l'âme et je mange mes haricots rouges sans riz et froid. Pas grand chose aura tenu 1 an dans la montagne...
Bilan: 11km, 750m d+
4 février :
Il pleut. Phrase du jour: quand il fait moche, c'est moche. Je retourne au parking où un uber m'a amené la vielle, et je répète un câble avec aucune voiture qui ne me prend en stop. Toutes sont quasi vides et il n'y a qu'une seule destination possible, à savoir Ushuaia. Au bout de 2km un taxi passe; lui évidement ne m'ignore pas. Il me dépose au début du sentier pour aller à la Laguna de los Témpanos. Comme il y a du brouillard, je vois à peine le glacier qui couronne la lagune. Je ne m'y attarde pas et rejoins la Laguna del Caminante où je pose la tente. La majorité de la ballade se fait dans la boue, dans la forêt, sous un ciel gris, parfois sous la pluie. La tente est deja trempée de la veille quand je la pose sous la pluie. Il en faut des journées pourries pour apprendre à apprécier les bonnes...
Bilan: 27km, 1200m d+
5 février :
Beau temps au programme et réveil à 06h00 pour en profiter. Visite du Lago Superior avant de me diriger au Cañadon de la Oveja. Incroyable formation d'un glacier en forme de tunnel où les couches de glaces / terre avancent en spirale. Des morceaux de glaces et des pierres tombent fréquemment donc je ne m'y attarde pas longtemps en dessous pour la vidéo. Je descends la vallée vers Ushuaia, rejoins un supermarché où je me pète le bide au lait + céréales, fais les provisions (repas froids je rappel car plus de réchaud) et enchaîne via Uber une ballade au Parc Tierra Del Fuego. Je traverse l'entrée sans payer puis longe la baie Lapataia sur 10km offrant de très beaux points de vue sur le détroit de Beagle et les sommets chiliens. Plusieurs plages sur le chemin me font faire des pauses où je pratique mes talents en ricochets. Le camping est paradisiaque; une île sur la riviere débouchant sur le canal de Beagle, au pied des derniers sommets des Andes, soleil sans nuages, un contraste totale avec la journée d'hier.
Bilan: 28km, 800m d+
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Thanksgiving
Chers lecteurs,
En cette fin d'année, il me semble quand je regarde autour de moi, que 2024 aura encore été une année bien éprouvante.
Pour moi c'était l'occasion d'une nouvelle et troisième opération de l'épaule, d'une maladie auto-immune, et de nombreuses crises d'angoisses par rapport à mon projet professionnel... Mais...
Ce n'était pas que ça.
Au milieu de tout ce tumulte, il y'a aussi eu ma découverte du cerceau aérien, ma reconnexion avec l'art du burlesque, une nouvelle passion consistant à plonger avec le plus d'espèces de requins possibles, et surtout la consolidation de mes liens amicaux.
Un ancien cercle, et un nouveau, le tout débordant d'amour sincère, de bienveillance et de soutien.
Quoi demander de plus finalement?
Une belle rencontre peut-être, et l'aboutissement de ces deux années de travail acharné sur mon projet - aussi.
Mes amis me demandent de temps à autre si mes prétendants ne se sentent pas gênés que je parle si ouvertement de ma vie privée sur les réseaux.
Prendre la parole, pour moi c'est une forme de reconquête de mon pouvoir féminin sacré - tout comme le fait de danser sur scène couverte de paillettes.
Aussi quelque part une volonté de ne rien avoir à cacher sûrement.
Trop de gens sont faux, volontairement ou pas, et manquent de cette franche authenticité - je trouve.
Alors oui, ça peut déranger - mais tant que le plus important, notre intimité reste privée, je ne vois pas où est le problème.
Peut-être aussi parce que j'ai fréquenté trop de séducteurs de bas étage, qui préfèrent rester dans l'ombre pour pouvoir courir le plus de gazelles possible.
Quoi qu'il en soit, plus que la volonté de mettre qui que ce soit en compétition, il s'agit plutôt de me protéger et de voir qui peut m'aimer sans détours pour qui je suis vraiment, des facettes les plus bruyantes aux plus discrètes et vulnérables.
Plaire à une grande majorité d'hommes pour autre chose que ses courbes, c'est sympa pour l'égo, mais c'est vide de sens sans l'opportunité d'approfondir avec quelqu'un qui a envie de creuser sous la surface.
On me dit souvent que d'un point de vue extérieur j'ai l'air dure, sauvage, forte, badass, mais qu'en m'approchant de plus près on s'aperçoit vite de ma sensibilité, de ma douceur, et de mon coeur romantique.
Cette dualité en perturbe plus d'un, et il me faut tellement de temps pour réussir à baisser ma garde, dormir (et bien dormir) avec quelqu'un typiquement, que si monsieur manque de patience, je serai sans doute une cause perdue pour lui.
Cette dualité, ou bien d'autres, chaque individu en est composé.
Et j'aime à découvrir celles de mes amis paso a paso, tout ce qu'ils/elles me laissent entrevoir est pour moi un cadeau en soit.
Une marque de confiance, de considération, d'intimité.
Un ami proche, enfin que je pensais être vraiment aussi proche qu'on peut l'être de moi, m'a demandé un jour si je donnerais ma vie pour sauver 100 personnes.
A mon "Oui!" instantané, et répétitif sur un compte dégressif de 10 puis 1, il a posé un regard sur moi que je n'oublierai jamais.
L'étincelle de celui qui débloque un nouveau niveau de son jeu préféré, une meilleure compréhension de qui je suis ici.
Tout simplement parce qu'à mes yeux, chaque vie compte.
La mienne n'est pas plus importante que celle de qui que ce soit d'autre.
Et si la donner permettait d'en sauver une, ou plusieurs, n'ayant pas vraiment d'attaches autres qu'amicales justement, qui s'en soucierait?
Le temps imparti à chacun est comme un sablier qui s'écoule plus ou moins vite, mais qui finit toujours par s'arrêter.
Faire de ce précieux cadeau quelque chose de positif, laisser notre empreinte sur le Monde, que peut-on réellement attendre de plus?
Joyeux Thanksgiving à tous
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Configuración VPN Opera Free Android
La configuración de una VPN en tu dispositivo Android puede brindarte una capa adicional de privacidad y seguridad mientras navegas por Internet. Opera Free VPN es una opción popular que ofrece un servicio gratuito y fácil de usar.
Para configurar Opera Free VPN en tu dispositivo Android, primero debes descargar la aplicación desde la tienda de aplicaciones de Google Play. Una vez instalada la aplicación, ábrela y sigue las instrucciones en pantalla para configurar tu conexión VPN.
Opera Free VPN te permite elegir entre diferentes ubicaciones de servidores para establecer tu conexión VPN. Puedes seleccionar la ubicación que prefieras dependiendo de tus necesidades, ya sea para acceder a contenido restringido geográficamente o simplemente para proteger tu privacidad.
Una vez que hayas seleccionado la ubicación del servidor, activa el interruptor en la parte superior de la pantalla para conectarte a la VPN. Verás un icono en la barra de notificaciones que indica que estás conectado de forma segura a través de la VPN de Opera Free.
Recuerda que utilizar una VPN puede ralentizar tu conexión a Internet, pero a cambio obtienes una capa adicional de seguridad y privacidad. Si buscas proteger tus datos mientras navegas desde tu dispositivo Android, configurar una VPN como Opera Free VPN puede ser una excelente opción. ¡Explora Internet con tranquilidad y seguridad!
Pasos para usar VPN Opera Free en Android
Los VPN, o redes privadas virtuales, son herramientas útiles para proteger la privacidad y seguridad en línea al cifrar la conexión a Internet. Opera, conocido por su navegador web, también ofrece un servicio VPN gratuito para sus usuarios de Android. A continuación, te presentamos los pasos para usar VPN Opera Free en tu dispositivo Android.
Primer paso, descarga la aplicación Opera Free VPN en la Google Play Store e instálala en tu dispositivo Android.
Segundo paso, abre la aplicación Opera Free VPN y sigue las instrucciones para configurar tu conexión VPN. Puedes elegir entre ubicaciones virtuales como Europa, América o Asia, dependiendo de tus necesidades.
Tercer paso, una vez configurado, activa el interruptor de VPN en la parte superior de la pantalla para conectarte a la red privada virtual y proteger tu tráfico en línea.
Cuarto paso, ahora puedes navegar por Internet de forma segura y anónima con Opera Free VPN en tu dispositivo Android. Recuerda que el servicio es gratuito, pero puede tener limitaciones en cuanto a la velocidad y la cantidad de datos.
En resumen, usar VPN Opera Free en tu Android es una forma sencilla de proteger tu privacidad en línea y garantizar una conexión segura en cualquier lugar. ¡No dudes en probarlo y disfrutar de una navegación segura y libre de restricciones!
Opera Free VPN Android tutorial
Opera Free VPN es una aplicación popular que permite a los usuarios de Android proteger su privacidad en línea y acceder a contenido bloqueado geográficamente de forma gratuita. En este tutorial, te guiaremos paso a paso sobre cómo utilizar Opera Free VPN en tu dispositivo Android.
Para empezar, descarga la aplicación Opera Free VPN desde la Google Play Store e instálala en tu dispositivo. Una vez instalada, abre la aplicación y acepta los términos y condiciones. A continuación, tendrás la opción de activar o desactivar la VPN.
Para activar la VPN, simplemente presiona el botón de encendido en la parte superior derecha de la pantalla. Opera Free VPN te permitirá elegir entre diferentes ubicaciones virtuales para simular que te encuentras en otro país y acceder a contenido restringido en tu región.
Una vez que hayas seleccionado una ubicación, tu conexión estará protegida y tu dirección IP será enmascarada, lo que te permitirá navegar de forma anónima y segura. Para desactivar la VPN, simplemente vuelve a la aplicación y presiona el botón de apagado.
En resumen, Opera Free VPN es una excelente opción para proteger tu privacidad en línea y acceder a contenido bloqueado en Android de forma gratuita. Sigue este sencillo tutorial y disfruta de una experiencia de navegación segura y sin restricciones.
Guía completa para activar VPN Opera Free en Android
La privacidad y la seguridad en línea son aspectos fundamentales en la actualidad. Una forma de proteger nuestra información y navegación en internet es a través de la utilización de una red privada virtual, también conocida como VPN. En este contexto, Opera Free ofrece una opción gratuita y sencilla para activar una VPN en dispositivos Android.
Para activar la VPN de Opera Free en tu dispositivo Android, sigue estos sencillos pasos. En primer lugar, descarga la aplicación Opera Free desde la tienda de aplicaciones de Google Play. Una vez descargada e instalada, abre la aplicación y accede a la configuración.
Dentro de la configuración, busca la opción de VPN y actívala. A partir de ese momento, tu conexión estará protegida y tu actividad en línea será anónima. La VPN de Opera Free te permitirá acceder a contenido restringido geográficamente, navegar de forma segura en redes públicas y proteger tus datos personales de posibles amenazas cibernéticas.
Es importante destacar que, si bien la VPN de Opera Free es una opción práctica y gratuita, existen otras alternativas en el mercado con funcionalidades adicionales y mayor personalización. Sin embargo, para aquellos usuarios que buscan una solución rápida y efectiva, la VPN de Opera Free en Android es una excelente elección. ¡Protege tu privacidad en línea y navega de forma segura con Opera Free VPN en tu dispositivo Android!
Uso correcto de VPN Opera Free en dispositivos Android
El uso de una VPN en dispositivos Android se ha vuelto imprescindible para proteger la privacidad y la seguridad en línea. Opera Free VPN es una opción popular que ofrece a los usuarios una forma sencilla de proteger sus datos mientras navegan por internet.
Para utilizar correctamente VPN Opera Free en dispositivos Android, primero debes descargar la aplicación desde la tienda de aplicaciones de Google Play. Una vez instalada, simplemente abre la aplicación y activa la VPN con un solo toque. Puedes seleccionar la ubicación del servidor al que te gustaría conectarte, lo que te permitirá acceder a contenido restringido geográficamente.
Es importante recordar que mientras Opera Free VPN ofrece una capa adicional de seguridad al cifrar tu conexión, no garantiza el anonimato completo en línea. Es fundamental seguir practicando hábitos seguros de navegación, como no compartir información personal en sitios web no seguros y estar atento a posibles amenazas en línea.
Además, es recomendable verificar la configuración de la VPN de forma regular para asegurarte de que esté activa y funcionando correctamente. Si experimentas problemas de conexión, puedes probar a cambiar de servidor o reiniciar la aplicación para restablecer la conexión.
En resumen, el uso adecuado de VPN Opera Free en dispositivos Android puede mejorar significativamente tu seguridad en línea y proteger tus datos mientras navegas por internet. ¡No dudes en aprovechar esta herramienta gratuita para proteger tu privacidad en la era digital!
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Las calles de la ciudad son demasiado estrechas.
Aquella mañana Norkian se despertó temprano, con los primeros rayos del sol entrando por la ventana, soltando un par de gruñidos al recordar que ya no estaba en casa. A pesar de que sólo llevaba un día fuera, ya echaba de menos a su madre. Y la comida de ésta.
Un par de vasos de leche después, salió del cubículo en el que ahora vivía mordisqueando un mendrugo de pan, y no tardó en salir del edificio, dirigiendo sus pasos hacia Gres. O al menos eso es lo que él pensaba.
Unas cuantas horas más tarde, aún seguía en Porcelana, sin la más mínima idea de cómo salir de allí. Había vuelto a toparse con la comisaría, varios super mercados y tres pipi-can, pero no era capaz de encontrar la salida que le llevaba hacia la ruta que conectaba con Gres.
Así que ahí estaba, sentado en un banquito de piedra, mirando el mapa de Porcelana en su gear, ya alterado, cuando una joven castaña vestida de rosa se sentó a su lado, observándole con curiosidad.
- ¿… no te funciona el gear? – Se atrevió a preguntar la joven, tras algunos minutos de silencio.
- ¿Uh? – El pelirrojo se giró, tardando aún unos instantes más en percatarse de que no estaba solo. – A-ah… no, uhh, es que… Creo que no entiendo el mapa. – Señaló la pantalla de su gear, suspirando un par de veces para calmarse antes de tenderle el gear a la chica. – Estoy buscando la salida hacia Gres… ¡Pero aquí no ‘ta! –
La joven, que apenas llegaba al metro y medio, cogió el aparato con cautela, observando su pantalla.
- Ah, pero es que Gres no conecta con Porcelana… ¿ves? – Usó los deditos para alejar la imagen, señalándole dónde se encontraba Gres respecto de Porcelana. – Primero hay que pasar por aquí, cruzando el puente… llegas a Esmalte y luego sigues todo recto hasta Gres. – Fue señalando con el índice el recorrido.
El galariano se arrimó a la chica, escuchándola con atención, anotando mentalmente sus indicaciones.
- Está un poco lejos para ir andando, pero si tienes un pokémon que vue… - La joven alzó la mirada, topándose con que el gigante estaba prácticamente encima de ella, así como de la gran diferencia de tamaño entre ambos. - … ¡o-o podrías coger el autobús! Creo que pasa uno cerca del puente… -
- Uhh… no, le debo dinero a… - aprieta los labios, intentando pensar algo creíble sin mencionar el burdel - …alguien. Así que iré andando, no tengo prisa. –
- ¿Mucho dinero? – La joven le preguntó, ladeando la cabeza con gesto inocente.
El galariano simplemente asintió, avergonzado de sí mismo.
- ¿… como cuánto? –
- … dos mil seiscientos cincuenta. – Respondió, tras mirar a un lado y a otro, temeroso de que alguien más le escuchara.
Una pequeña sonrisa asomó por los labios de la chica. - ¡Eso es fácil! Yo te puedo ayudar, ¡pero me tienes que ayudar tú a mí! – Se levantó, poniéndose de pie sobre el banco, de manera que quedaba más o menos a la altura del gigante. - ¡Tengo un plan! –
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Cómo empezar con Vue.js | Primeros pasos con Vue Vue es una librería JavaScript para el desarrollo de aplicaciones web. Cada vez está tomando más fuerza y su uso se está extendiendo mucho. Su comunidad ... source
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EL SAMURÁI Era hombre de dos sables.
Mientras roza al desgaire la biwa sonora, a través del bambú tejido en fina lama, ha visto, por la playa ofuscadora y lisa, marchar el campeón que amorosa soñara.
Es él. Sables en cinto, alto el ventalle, va. El cíngulo escarlata y la bellota grana cortan el fosco arnés, y estalla en las hombreras el blasón de Hizén o de los Tokugawa.
El guerrero vestido de chapas y nudillos —bajo el bronce, la seda y las lacas lustrosas—, parece un gran cangrejo negro y rubicundo.
La ha visto. So la barba de la mentonera sonríe, y con su airoso paso más relumbran las dos antenas de oro que blande su yelmo.
*
LE SAMOURAÏ C’était un homme à deux sabres.
D’un doigt distrait frôlant la sonore bîva, À travers les bambous tressés en fine latte, Elle a vu, par la plage éblouissante et plate, S’avancer le vainqueur que son amour rêva.
C’est lui. Sabres au flanc, l’éventail haut, il va. La cordelière rouge et le gland écarlate Coupent l’armure sombre, et, sur l’épaule, éclate Le blason de Hizen ou de Tokungawa.
Ce beau guerrier vêtu de lames et de plaques, Sous le bronze, la soie et les brillantes laques, Semble un crustacé noir, gigantesque et vermeil.
Il l’a vue. Il sourit dans la barbe du masque, Et son pas plus hâtif fait reluire au soleil Les deux antennes d’or qui tremblent à son casque.
José-Maria de Heredia
di-versión©ochoislas
#José-Maria Heredia#literatura francesa#poesía parnasiana#japonaiserie#samurái#bizarría#enamorada#di-versiones©ochoislas
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Trek Vuelta al Huemul
Deuxième journée 1/2
Ascension du paso del Viento avec vue plongeante sur l’immense glacier Viedma.
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“The ice and the long moonlit polar nights, with all their yearning, seemed like a far-off dream from another world— a dream that had come and passed away. But what would life be worth without its dreams? - Fridtjof Nansen, “Farthest North,” 1897
This publication introduces the artistic legacy of the planet's frozen frontiers now threatened by a changing climate. Tracing the impact of glaciers, icebergs, and fields of ice on artists' imaginations, “Vanishing Ice” explores the connections between generations of artists who have adopted different styles, media, and approaches to interpret alpine and polar landscapes.
Image 1: Front cover with image by Jean de Pomereu, “Fissure 2 (Antarctica)” from Sans Nom, 2008, archival inkjet print. Description: A fissure on the ice showing the dark water underneath
Image 2. Top: Marc Theodore Bourrit, “Le Mont Blanc vu en face du coté de l’Allée-Blanche,” from Horace-Benedict de Saussure, Voyages dans les Allpes, 1786, engraving. Bottom: Patrizia Imhof, Le Mont Blanc vu en face du coté de, l’Allée-Blanche, 2009, color photograph Description: Two photographs showing the difference in the amount of ice and snow on Mont Blanc. Top image from 1786 shows a lot more amount of ice and snow covering the mountains. Bottom image shows very little snow on top of the mountains.
Image 3: Francois-Auguste Biard, Pêche au morse par des Groënlandais, vue de l’Océan Glacial (Greenlanders hunting walrus, view of the Polar Sea), Salon of 1841, oil on canvas. Description: A couple of fishing boats with fishermen in the foreground, surrounded by a number of large icebergs in the rough sea.
Vanishing ice : alpine and polar landscapes in art, 1775-2012 Matilsky, Barbara C. [author] 1st ed. Bellingham, Wash. : The Whatcom Museum ; Seattle, Wash. : Distributed by the University of Washington Press, 2013. 144 p. : col. ill. ; 28 cm. Language: English "This publication accompanies the touring exhibition, Vanishing ice : alpine and polar landscapes in art, 1775-2012, for the Whatcom Museum ... Whatcom Museum, Bellingham, Washington, November 2, 2013-March 2, 2014; El Paso Museum of Art, El Paso, Texas, June 1-August 24, 2014; McMichael Canadian Art Collection, Kleinberg, Ontario, October 11, 2014-January 11, 2015" 2013 HOLLIS number: 990138118670203941
#vanishingice#ice#icemelting#climatechange#environment#glaciers#icebergs#snow#polarlandscape#fineartslibrary#harvardfineartslibrary#Harvard#harvard library#harvardlibrary#montblanc#polarsea#Greenland
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Leonardo - 4ta parte
Por primera vez en mucho tiempo estaba teniendo una rutina sexual, algo que no me pasaba desde el primer año que empecé a vivir sin mi familia. En ese entonces, solo era activo sin animarme a mucho más que chupar verga y culo, perdiéndome un montón de cosas sin saberlo. Mucho miedo a contagiarme algo, inculcado por años y años de cine culposo y trágico. Además, ser solo activo es algo aburrido pero mucho más fácil. Dia por medio tenia para mi el culo de 3 vecinitos y los fines de semana iba a bailar, me aventuraba a alguna tetera o conseguía un culito nuevo en un barrio cercano. Era frecuente, seguro, cómodo y lo que necesitaba en ese momento. Con Leo siempre supe que las cosas serían diferentes.

De lunes a jueves llegábamos cada uno por su cuenta a la nueva oficina, saludando a la recepcionista rubia e idiota, trabajábamos cada uno en lo suyo durante unas horas, media hora antes de que todo el mundo se fuera a almorzar comenzaba lo primero: nos escondíamos a comernos la boca en el baño de discapacitados durante 10 minutos. A veces ahí también salía una paja rápida. Almorzábamos juntos día por medio para no despertar sospechas y tipo 4 de la tarde llegaba el mensajito tan deseado. — Fijate que llegó email de Kent —Perfecto, ahora le respondo en 10. Leo me escribía en ese código secreto en Slack, en parte de puro perseguido y en parte porque lo calentaba: Kent era el nombre del telo a 8 cuadras de la oficina, lo cual quería decir que nos encontraríamos abajo en 10 minutos e iríamos a coger ahí un medio turno de 30. Si había "reunión con Kent", el turno era completo e íbamos a garchar una hora entera. Luego de que me penetrara en todas las posiciones que se le ocurrieran, volvíamos a la oficina procurando entrar con 10 o 15 minutos de diferencia. Trabajábamos un poco más y luego cada uno a su casa o quedarnos un poco después de hora para besuquearnos mas en la oscuridad de la oficina vacía y ver videos en Youtube. A veces si había paja rápida al mediodía o mucho trabajo, Kent no mandaba emails a la tarde y estaba todo bien igual. Porque Leo lo compensaba el sábado o el domingo, en mi casa o en la suya, donde solo cogíamos una vez pero durante muchas horas. Nada ni nadie nos apuraba ni podía descubrirnos. Ambos nos encargábamos de pagar los preservativos, los jueves y viernes no nos veíamos por el casi obligatorio after office (un posible despertador de sospechas), hasta a veces sobreactuábamos peleas sobre asuntos del trabajo. Todo era armonía de lunes a jueves, el se iba al gimnasio descargado y yo volvía a mi casa con mi perro. Había épocas de gloria, como esa vez que se tomo una semana de vacaciones, fingió ir al sur y en vez de eso se quedó en mi casa. O esa semana que yo me tomé vacaciones, no fui a ningún lado y en vez de Kent pudimos ir a Conde, el hotel mas cercano a la oficina y mucho mas lindo. El se estaba convirtiendo en mi espacio de confort, besarlo y abrazarlo era siempre lo mejor que me pasaba en la semana. También hubo épocas de infierno, como la vez que tuvo faringitis, no lo vi por una semana y media y no supe que carajo hacer. Porque ahí fue cuando se hizo evidente lo que me estaba pasando. Lo empecé a extrañar, no podía concentrarme en ninguna otra cosa porque solo pensaba en él. No tenía sexo con nadie que no fuera Leo hacia 7 meses, no miraba porno para masturbarme: solo lo hacia con el bóxer sucio que había dejado en casa, con su remera bordó, con el recuerdo de su verga entrando en mi culo.

Cuando se recuperó, volvimos a nuestra rutina sexual. Una tarde apenas cruzamos la puerta de la habitación 22 de Kent, me dio un beso tímido y húmedo y me dijo las 3 palabras que me desarmaron. —Te extrañe, guacho. Me reí como una colegiala y dije que yo también. Pero era más, yo sé que era más lo que sentía. La puta que te parió, Leo. Nos tiramos en la cama, nos quedamos solo en ropa interior y Leo dejo de lamerme el pecho para mirarme a los ojos. —¿Qué tenés ganas de hacer hoy? —Lo que vos quieras —Dale, te estoy preguntando boludo... —¿Qué? Me reí nervioso, sin saber qué quería decirme. —Yo te conozco ya, no tenés ganas de algo más? Mi cerebro empezó a maquinar al mil por ciento: no hay manera de que me esté pidiendo un trío porque no se puede entrar de a tres en estos hoteles, no tenemos juguetes ni compró nada, no toma merca hace meses y sabe que no me gusta, que más sabe? No cogí con ningún flaco y aun si así fuera que.. Mis pensamientos se interrumpieron porque Leo agarró una de mis manos y la posó sobre su cola. Su firme, turgente, musculada y hermosa cola. —Me vas a decir que no querés, si me la tocas todo el tiempo... Leo sabía que yo era versátil, aunque jamás en todo esos meses siquiera deslicé la idea de poder culearlo. —Si, obvio que quiero, pero nunca lo hiciste, me dijiste... —Nunca me cogieron así de cogerme. Solo hice cosas... —¿Qué cosas? —Beso negro, algún dedito cuando me pajeo por ejemplo... —¿Ah si? ¿Beso negro de quien, de una mina? —Si, de mi ex y de otra después... —Por eso, de una mina. —Si, por? —Porque no es lo mismo. Con un tipo es otra cosa...y no le decimos "beso negro". —¿Ah no? ¿Cómo se dice? —Comer culo. Leo se río en voz alta, muy pícaro. Me incorporé y comencé a sacarle el bóxer, despacito. Delante de mi cara ahora solo estaban sus glúteos desnudos, duros y blancuzcos. Empecé con besitos de arriba hacia abajo y ya pude escuchar como gemía tímidamente. Me fui acercando hacia su raya sin dejar de respirar, el aire de mi aliento rebotando en el final de la espalda hacia que sus pocos pelitos se erizaban. Llevé una mano a su bajo vientre y entendió que debía ponerse en cuatro patas para mi. Como era su primera vez, no habría nalgadas ni escupidas. Tenía que hacer lo posible para dilatarlo pacientemente. Acaricié todos sus cuartos traseros, desde su culo hasta sus gemelos. Él me dejaba hacer, completamente mudo. Abrí sus glúteos y ahí estaba delante mío, un hoyito rosadito claramente virgen rodeado de pelitos rubios, esperando a ser devorado. Pasé la lengua y se le escapó el primer gemido ahogado. La higiene de la zona delató que Leo había llegado esa tarde con este objetivo en mente, decidido. Mi lengua siguió jugando con todas las zonas de ese culo hasta que seguí con los besos. Sus gemidos ya se habían convertido en ruido constante y habían generado que su preciosa verga se pusiera dura como una piedra. Empecé a pajearlo mientras mi boca no paraba de jugar. —Uuuuuhhh...seeeeh boludo, así! Con una mano lo masturbaba a él, con mi boca comía su hermoso orto y con la otra me masturbaba yo. Seguí así durante unos 5 minutos más, podría haber estado así toda la tarde. Toda la semana. —Este orto quiere carne eh? —Todo tuyo, guacho...

Mis manos lo abrieron más, porque había llegado el momento de mandar lengua adentro. Sentí el sabor a hombre en toda mi boca y él dejó escapar un gritito de aprobación. Mi lengua lo penetraba, todo era calor y humedad entre nuestros cuerpos, ya acostumbrados a calentarse a las apuradas de lunes a jueves. Su culo estaba particularmente calentito esa tarde, su espalda había empezado a transpirar de puro placer. Aumente la frecuencia con la que metía mi lengua en ese ano y Leo empezó a moverse frenéticamente, haciendo de ella un mini pene al cual ya se había entregado por completo. Leo es mío, definitivamente. Volví a sentir su pija, dura y llena de presemen en la punta, baba, de todo. Humedad masculina entregada al placer total de mi mano. —Ufff....seguí, seguí hijo de puta, seguí Intercalé lengua y dedos, primero uno, luego dos. Él ya estaba entregadísimo, todo para mi. —¿Queres que empiece, despacito? —Dale, vos sabés... Me reí en silencio y busque el pomo de gel y un preservativo. El seguía tocándose y meneando de placer su maciza cola con el agujero mas hermoso del mundo. Luego de ponerme el condón y aplicar gel, la cabeza de mi pene empezó a abrirse paso en esa cola, estrecha y mojadita. Costaba, naturalmente. Con caricias le hice saber que no haría nada brusco. Finalmente, mi glande pasó el umbral del ano y llegó a su recto. Gritó de dolor. —Pará pará, sacala, sacala... —La saco despacio....ahí va. —Ufff... —Ahora vas a tener ganas de ir al baño... —Como sabes? Y...son años de desvirgar culos, pelotudo. Pero no le dije eso. —Porque es lo que pasa. Pero ya pasan, no son ganas y se te van al toque. —Bueno. —Igual si querés, siempre puedo parar y hacemos otra cosa. Sentí que ya estaba hablando demasiado y arruinando el momento. —No guacho, todo bien. Con vos está todo bien. La misma frase que me dicen siempre los de culo estrecho o virgen: "con vos está todo bien". El sello de aprobación que siempre me transforma en Iniciador de Culos Profesional, matriculado. Mi glande volvió a ese culo con un poco mas de gel esta vez, logró entrar con un nítido "pop" y una vez dentro de la cuevita de Leo, se movió lentamente. Leo gemía entre excitado y preocupado, aunque su verga nunca había dejado de estar dura. Fui penetrándolo suave y de a poco mientras lamia su espalda y acariciaba sus glúteos. —Ahora empiezo a moverme yo si querés... Su determinación me sorprendió. Igualmente tuve que avisarle. —Mirá que no entró del todo todavía eh.... —Uh..bueno, mandala si queres. Obedecí de golpe, sellando el pacto entre mi chota y su culo. Leo dejó escapar un grito y estrujó con sus manos las sabanas. Me incliné sobre su espalda para darle dulces besos, él tenia la cara enterrada en la almohada. Yo quería verlo a los ojos, moría por verlo a los ojos. Seguí con suaves embestidas que fueron aumentando en ritmo, el ruido del látex entrando y saliendo de su culo solo era interrumpido por sus gemidos. Ya no eran de dolor, era puro placer. Estaba entregado a mi, los músculos de su espalda se estremecían cada vez que metía mi pene hasta el fondo, cada vez que mis bolas chocaban con sus nalgas. Cogerse un culo estrecho es de las cosas mas lindas de la vida y de las que me hacen acabar mas rápido. No quería, quería ver el rostro de mi hombre mientras lo penetraba. —Date vuelta, porfa...
Leo se dio vuelta, estaba completamente colorado: en su cara había una expresión de sumisión extrema. Sus cejas arqueadas y sus ojitos llorosos, su barba de hombre con saliva de haber mordido la almohada y de usarla para lubricar su verga al masturbarse mientras yo estaba dentro suyo. Ahora me había salido unos segundos, podía sentir mi semen a punto de salir en cualquier momento. —Cogeme papi, seguime cogiendo... Esa sola frase casi me hace acabar, también verlo delante mío abierto de piernas ofreciéndome su agujerito dilatado mientras su verga dura golpeaba sus abdominales. En ese momento me pareció el varón mas lindo del mundo. Escupí mi pija, otro poco en su culito y volví a estar dentro suyo en un solo segundo. Ahora el que gritó fui yo, el placer de tenerlo para mi y sentirme unido a su carne de esa manera era demasiado. La metí y saqué dos o tres veces, no pude aguantar mas lo inevitable. —Acabo boludo, acabo... —Dale, llename de leche papi... No había mas "guacho" ni "loco": al parecer, cuando Leo estaba entregado se entregaba del todo con un "papi". Estaba a punto de estallar dentro suyo cuando lo miré a los ojos, notando que me estaba clavando la mirada desde que se habia dado vuelta. Lo besé profundamente y gimiendo con la boca abierta, senti como cuatro chorros de mi semen inflaban su recto, bombeando dentro suyo todo mi placer. Un calor húmedo llegó a mi barbilla, Leo se estaba acabando en sus pectorales y el chorro me había alcanzado. Durante 5 segundos todo fue unión entre nuestros cuerpos, olor a hombre y a sexo que se desarmaba. Con la inevitable risita nerviosa post eyaculación, me salí, lo besé y me pare a buscarle con que limpiarse. Le avisé que faltaba para que termine el turno, mientras hacia un nudo al preservativo y el se pasaba papel higiénico por el pecho en el mas raro de los silencios. Me tumbé a su lado, mirando el techo. —¿Te gustó? —Si, mas vale... —Y si, si no te hubieras acabado encima. Su expresión era mas que seria, era hasta preocupante. —¿Todo bien? —Si si, todo bien... Leo recostó su cabeza en mi pecho y lo abracé con mi brazo derecho. Habíamos hecho eso mismo varias veces, pero esta vez se sentía distinto. No era el Leo de otros días que me cogía como una bestia de parado, ni el que había entrado por esa puerta hacia 15 minutos, ni el que gozaba con mi pija adentro. Este Leo era un gorrión mojado por la lluvia, temeroso de vaya a saberse que cosa. Saqué conversación sobre el trabajo, sobre lo que fuera y respondía con monosílabos. Algo pasaba, pero no me lo iba a decir. Ni esa tarde, ni nunca.
Arreglamos que él llegaría primero a la oficina y yo 15 minutos después, los cuales se transformaron en media hora porque el imbécil de seguridad quería contarme no sé que cosa de sus hijitos. Cuando subí y se abrió el ascensor, para mi sorpresa Leo estaba en la recepción hablando con la rubia tarada de la entrada. Hablaban, reían viendo algo en el celular de ella, cercanos y compinches. Fui hacia mi escritorio y Fran se acercó a darme unos formularios. —Acá está lo de la reunión de mañana —Bueno, ahora lo miro. Las risas de Leo y la rubia tarada llegaban hasta nosotros, Fran no pudo evitar hacer un comentario porque eran demasiado notorias. —Parecen dos tarados, lo mismo hicieron en el after: toda la noche riendo como dos focas. El tarado era yo. Directamente ciego, no me había dado cuenta de nada, obnubilado por tanto delicioso sexo, hipnotizado por haber tenido su aroma en mi piel todas las semanas. El aroma de un hombre que prácticamente se baña todos los días para que ningún aroma se quede en su cuerpo. Las escapadas, jugar a las escondidas, los telos y los celulares apagados. Como se quedó en mi casa pero yo nunca me quedé en la suya. —Para mi ya se la está cogiendo. —Je... La que hice en ese momento debe haber sido la peor sonrisa fingida en la historia del mundo. La puta que te parió, Leo.
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Last Round of Museums

Aussi beau que le mois d'octobre avait commencé, aussi rapidement il s’est terminé et, avec le début du mois de novembre, les musées étaient à nouveau fermés. Les magasins, cependant, n'étaient pas fermés avant décembre, c'est pourquoi je suis toujours un peu énervé. Personne, mais vraiment personne, ne peut m'expliquer logiquement que l'on peut mieux contrôler les restrictions d'accès dans les magasins que dans un musée. Oui, je sais que tout cela a été fait pour des raisons financières. Mais je suis toujours en colère.
So schön wie der Oktober begonnen hatte, so schnell war er dann auch wieder vorbei und mit dem Novemberbeginn wurden die Museen wieder geschlossen. Die Geschäfte wurden aber erst im Dezember geschlossen, weswegen ich immer noch ein bisschen angepisst bin. Es kann mir keiner, aber auch wirklich keiner logisch erklären, dass man in Geschäften die Zugangsbeschränkungen besser kontrollieren kann als in einem Museum. Ja, ich weiß dass das alles aus Geldgründen gemacht wurde. Bin aber trotzdem sauer.
Tan bonito como había empezado octubre, tan rápido se acabó y con el comienzo de noviembre, los museos volvieron a cerrar. Sin embargo, las tiendas no cerraron hasta diciembre, por lo que todavía estoy un poco cabreada. Nadie, pero realmente nadie, puede explicarme con lógica que se puedan controlar las restricciones de acceso en las tiendas mejor que en un museo. Sí, sé que todo esto se hizo por razones de dinero. Pero todavía estoy enfadada.


Par moi-même, j'ai visité le Palais des Larmes à la station Friedrichstraße, dont je n'ai malheureusement pas de photos. C'était tout de même intéressant - la gare a été pendant des années l'un des plus importants, sinon le plus important passage frontalier entre la RDA et la RFA.
Im Alleingang besuchte ich den Tränenpalast am Bahnhof Friedrichstraße, von dem ich leider keine Fotos habe. Interessant war’s trotzdem - der Bahnhof war jahrelang einer der wichtigsten, wenn nicht der wichtigste Grenzübergang zwischen der DDR und der BRD.
Por mi cuenta visité el Palacio de las Lágrimas en la estación de Friedrichstraße, del que lamentablemente no tengo fotos. No deja de ser interesante: la estación fue durante años uno de los pasos fronterizos más importantes, si no el más importante, entre la RDA y la RFA.


Le dernier musée que Martina et moi avons visité était le Pergamonmuseum. Je l'avais déjà vu lors de ma première visite à Berlin il y a dix ans, mais je m'en souvenais à peine. Depuis 2016, il est en cours de reconstruction et l'attraction principale - l'autel de Pergame - ne peut être visitée. En guise de consolation, le Pergamon Panorama a été construit à quelques mètres de là, une immense installation artistique à 360° de Yadegar Asisi. Elle montre une vue de la ville de Pergame, en partie peinte, en partie reconstituée à partir de photos, et est absolument fascinante. De même, certaines des statues de l'autel ont été remises en scène et je suis tout à fait d'accord avec ce choix artistique.
Das letzte Museum das Martina und ich besuchten war eeendlich das Pergamonmuseum. Ich hatte es bei meinem ersten Besuch in Berlin vor zehn Jahren bereits gesehen, konnte mich aber kaum noch erinnern. Seit 2016 wird es umgebaut und die Hauptattraktion - der Pergamonaltar - kann nicht besucht werden. Als Trostpflaster wurde ein paar Meter weiter das Pergamon Panorama aufgebaut, eine riesige 360° Kunstinstallation von Yadegar Asisi. Es zeigt eine Ansicht der Stadt von Pergamon, teils gemalt, teils aus Fotos zusammengestückelt, und ist absolut faszinierend. Ebenfalls wurden einige Statuen des Altars neu in Szene gesetzt und ich bin aaaall in for that.
El último museo que visitamos Martina y yo fue el Pergamonmuseum. Ya lo había visto en mi primera visita a Berlín, hace diez años, pero apenas lo recordaba. Desde 2016 se está reconstruyendo y la principal atracción -el Altar de Pérgamo- no se puede visitar. Como consuelo, a pocos metros se construyó el Panorama de Pérgamo, una enorme instalación artística de 360º realizada por Yadegar Asisi. Muestra una vista de la ciudad de Pérgamo, en parte pintada y en parte reconstruida a partir de fotos, y es absolutamente fascinante. Asimismo, algunas de las estatuas del altar han sido reajustadas y estoy toootalmente de acuerdo con esta decisión artística.


Daaamn that booty tho
Au musée, nous sommes tombés sur de vieux (littéralement) amis : La porte d'Ishtar, la porte du marché de Miletus, l'impressionnante collection d'art islamique et les impressionnantes œuvres d'art de Mésopotamie. Quelques jours avant notre visite, cependant, on a appris que, début octobre, des vandales inconnus avaient aspergé certains de ces objets d'un liquide huileux. À ce jour, on ne sait rien de plus, mais on soupçonne fortement leur identité. Pour être honnête, nous aurions à peine remarqué les taches, mais on ressent tout de même un petit pincement au cœur à la vue d'une telle stupidité.
Im Museum trafen wir auf alte (wortwörtlich) Bekannte: Das Ischtar-Tor, das Markttor von Milet, die beeindruckende Sammlung islamischer Kunst sowie die imposanten Kunstwerke aus Mesopotamien. Ein paar Tage vor unserem Besuch war allerdings bekannt geworden, dass Anfang Oktober unbekannte Vandalen einige dieser Objekte mit einer öligen Flüssigkeit bespritzt hatten. Bis heute ist nichts weiteres bekannt, doch es gibt einen starken Verdacht um wen es sich handeln könnte. Die Flecken wären uns kaum aufgefallen um ehrlich zu sein, doch man verspürte trotzdem einen kleinen Stich im Herz beim Anblick solcher Dummheit.
En el museo, nos encontramos con algunos viejos (literalmente) amigos: La Puerta de Ishtar, la Puerta del Mercado de Mileto, la impresionante colección de arte islámico y las impresionantes obras de arte de Mesopotamia. Sin embargo, unos días antes de nuestra visita, se supo que a principios de octubre unos vándalos desconocidos habían salpicado algunos de estos objetos con un líquido aceitoso. Hasta la fecha, no se sabe nada más, pero existe una fuerte sospecha sobre quiénes podrían ser. A decir verdad, apenas habríamos notado las manchas, pero uno seguía sintiendo una pequeña punzada en el corazón al ver semejante estupidez.

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Guess I’m going to El Paso in June?
My state's Pearson Vue testing centers filled up in the first 2 hours of the group B MCAT registration opening up. My mind was baffled and blown. Guess I get too look forward to a small road trip before I test-.- Nothing like hours of driving alone, with my thoughts, to quell my debilitating test anxiety. Should be fine.
#premed#mcat#unforeseen road trip#guess I better start saving for hotels#my poor credit card#student struggles#testing struggles#good luck all my other west coast premeds.#studyblr#personal update#this morning was rough
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Apps, webs y aplicaciones web
A medio camino entre la páginas web y las ya famosísimas Apps, o aplicaciones, nos encontramos las aplicaciones web. Es posible que muchos aún estemos intentando descifrar qué diferencia a las primeras de las segundas, como para entender qué son las terceras. Mi padre, por ejemplo, llama a todo ‘Facebook’, sin importar si realmente está usando o no esa red social. Cualquier cosa que esté en internet es eso para él. De modo que si no diferencias una web de una aplicación web tampoco debes agobiarte.
Las Apps nos han facilitado mucho la vida, eso es indudable, por lo que dar el paso hacia el diseño de aplicaciones web a medida era un paso natural que se tenía que dar. En ellas se combinan lo mejor de ambos mundos. Pero para tener clara la diferencia entre una web normal y una aplicación web, me puse en contacto con un estudio de diseño web en León, ellos están especializados en el diseño de aplicaciones web de gestión, y me hicieron una pequeña explicación que os traslado.
Diferencias entre páginas web y aplicaciones web
1. En qué se diferencian las aplicaciones web de los sitios web
Un sitio web es principalmente algo informativo y estático: la tarjeta de presentación de una empresa, un sitio de recetas, un portal de la ciudad o un wiki. Un conjunto de archivos HTML preparados previamente que se encuentran en un servidor remoto y se entregan al navegador a pedido.
Los sitios contienen varias estadísticas que, como un archivo HTML, no se generan sobre la marcha. La mayoría de las veces se trata de imágenes, archivos CSS, scripts JS, pero puede haber otros archivos: mp3, mov, csv, pdf.
Blogs, tarjetas de visita con formulario de contacto, páginas de destino con un montón de efectos… forman parte de los sitios web, aunque rompan un poco con su estatismo y simplicidad. A diferencia de los sitios completamente estáticos, ya incluyen algún tipo de lógica empresarial.
Y una aplicación web es algo técnicamente más complejo. Aquí las páginas HTML se generan sobre la marcha según la solicitud del usuario. Clientes de correo electrónico, redes sociales, motores de búsqueda, tiendas en línea, programas de negocios en línea, todas estas son aplicaciones web.

2. ¿Qué son las aplicaciones web?
Las aplicaciones web se pueden dividir en varios tipos, dependiendo de las diferentes combinaciones de sus componentes principales:
El backend (backend o parte del servidor de la aplicación) se ejecuta en una computadora remota, que puede ubicarse en cualquier lugar. Se puede escribir en diferentes lenguajes de programación: PHP, Python, Ruby, C # y otros. Si crea una aplicación utilizando solo el lado del servidor, como resultado de cualquier transición entre secciones, envío de formularios, actualización de datos, el servidor generará un nuevo archivo HTML y se volverá a cargar la página en el navegador.
El frontend (frontend o parte del cliente de la aplicación) se ejecuta en el navegador del usuario. Esta parte está escrita en el lenguaje de programación Javascript. La aplicación solo puede constar de la parte del cliente, si no es necesario almacenar los datos del usuario durante más de una sesión. Estos pueden ser, por ejemplo, editores de fotografías o simples juguetes.
Aplicación de página única (SPA o aplicación de página única). Una opción más interesante cuando se utilizan tanto el backend como el frontend. Usando su interacción, puede crear una aplicación que funcionará sin necesidad de recargar la página en el navegador. O en una versión simplificada, cuando las transiciones entre secciones provocan recargas, pero se prescinde de cualquier acción en la sección.
3. Django python framework, también conocido como backend
En desarrollo, un marco es un conjunto de bibliotecas y herramientas listas para usar que lo ayudan a crear aplicaciones web. Como ejemplo, describiré el principio de funcionamiento del framework Django escrito en el lenguaje de programación Python.
En la primera etapa, la solicitud del usuario va al enrutador (despachador de URL), que decide a qué función llamar para procesar la solicitud. La decisión se toma sobre la base de una lista de reglas que consta de una expresión regular y un nombre de función: si tal o cual url, entonces esta es la función.
La función que llama el enrutador se llama vista. Cualquier lógica empresarial puede estar contenida dentro, pero la mayoría de las veces es una de dos cosas: o los datos se toman de la base de datos, se preparan y se devuelven al frente; o una solicitud vino con datos de algún formulario, estos datos se verifican y se guardan en la base de datos.
Los datos de la aplicación se almacenan en una base de datos (DB). Las bases de datos relacionales más utilizadas. Esto es cuando hay tablas con columnas predefinidas y estas tablas están vinculadas a través de una de las columnas.
Los datos de la base de datos se pueden crear, leer, modificar y eliminar. A veces puede ver la abreviatura CRUD (Create Read Update Delete) para denotar estas acciones. Se utiliza un lenguaje especial SQL (lenguaje de consulta estructurado) para consultar datos en la base de datos.
En Django, los modelos se utilizan para trabajar con la base de datos. Te permiten describir tablas y realizar consultas en el desarrollador de Python habitual, lo cual es mucho más conveniente. Esta conveniencia tiene un precio: consultas como esta son más lentas y limitadas en comparación con SQL puro.
Los datos recibidos de la base de datos se preparan a la vista para enviarlos al frente. Se pueden sustituir en la plantilla y enviar como un archivo HTML. Pero en el caso de una aplicación de una sola página, esto ocurre solo una vez, cuando se genera una página HTML, a la que están conectados todos los scripts JS. De lo contrario, los datos se serializan y se envían en formato JSON.
4. Marcos de Javascript, también conocidos como frontend
El lado del cliente de la aplicación consta de scripts escritos en el lenguaje de programación Javascript (JS) y ejecutados en el navegador del usuario. Anteriormente, toda la lógica del lado del cliente se basaba en el uso de la biblioteca jQuery, que le permite trabajar con el DOM, animaciones en la página y realizar solicitudes AJAX.
DOM (modelo de objeto de documento) es la estructura de una página HTML. Trabajar con DOM se trata de encontrar, agregar, modificar, mover y eliminar etiquetas HTML.
AJAX (javascript asíncrono y XML) es el nombre general de las tecnologías que le permiten realizar solicitudes asíncronas (sin recargar la página) al servidor e intercambiar datos. Dado que las partes cliente y servidor de la aplicación web están escritas en diferentes lenguajes de programación, para intercambiar información es necesario convertir las estructuras de datos (por ejemplo, listas y diccionarios) en las que se almacena en formato JSON.
JSON (JavaScript Object Notation) es un formato universal para intercambiar datos entre un cliente y un servidor. Es una cadena simple que se puede utilizar en cualquier lenguaje de programación.
La serialización es la conversión de una lista o diccionario a una cadena JSON. Por ejemplo:
Diccionario:
{
'id': 1,
'email': '[email protected]'
}
Cadena serializada:
'{"id": 1, "email": "[email protected]"}'
La deserialización es la conversión inversa de una cadena a una lista o diccionario.
Con la manipulación DOM, puede controlar completamente el contenido de sus páginas. Con AJAX, puede intercambiar datos entre cliente y servidor. Con estas tecnologías, ya puede crear un SPA. Pero cuando se crea una aplicación compleja, el código frontend basado en jQuery se vuelve rápidamente confuso y difícil de mantener.
Afortunadamente, JQuery ha sido reemplazado por marcos de Javascript: Backbone Marionette, Angular, React, Vue y otros. Tienen una filosofía y sintaxis diferente, pero todas te permiten administrar datos en el frontend con mucha más comodidad, tienen motores de plantilla y herramientas para crear navegación entre páginas.
Una plantilla HTML es una página HTML inteligente que utiliza variables en lugar de valores específicos y proporciona varios operadores: if , for loop y otros. El proceso de obtener una página HTML a partir de una plantilla, cuando se sustituyen las variables y se aplican operadores, se denomina renderización de plantillas.
La página renderizada resultante se muestra al usuario. Pasar a otra sección en SPA es una aplicación de un patrón diferente. Si es necesario utilizar otros datos en la plantilla, se solicitan al servidor. Todos los envíos de formularios con datos son solicitudes AJAX al servidor.
5. Cómo se comunican el cliente y el servidor entre sí
El cliente se comunica con el servidor a través del protocolo HTTP. La base de este protocolo es una solicitud de un cliente a un servidor y una respuesta del servidor a un cliente.
Para las solicitudes, suelen utilizar los métodos GET si queremos recibir datos, y POST si queremos cambiar los datos. La solicitud también contiene el host (dominio del sitio), el cuerpo de la solicitud (si es una solicitud POST) y mucha información técnica adicional.
Las aplicaciones web modernas usan HTTPS, una versión extendida de HTTP compatible con el cifrado SSL / TLS. El uso de un canal de transmisión de datos cifrados, independientemente de la importancia de estos datos, se ha convertido en una buena práctica en Internet.
Hay una solicitud más que viene antes de HTTP. Esta es una solicitud de DNS (sistema de nombres de dominio). Es necesario obtener la dirección IP a la que está vinculado el dominio solicitado. Esta información se guarda en el navegador y ya no perdemos tiempo en ella.
Cuando una solicitud del navegador llega al servidor, no llega inmediatamente a Django. Primero, es procesado por el servidor web Nginx. Si se solicita un archivo estático (por ejemplo, una imagen), Nginx lo envía de vuelta al cliente. Si la solicitud no es estática, Nginx debe enviarla por proxy (transmitirla) a Django.
Desafortunadamente, no sabe cómo. Por lo tanto, se utiliza otro programa de capa: el servidor de aplicaciones. Por ejemplo, para aplicaciones de Python, esto podría ser uWSGI o Gunicorn. Y ahora envían la solicitud a Django.
Una vez que Django ha procesado la solicitud, devuelve una respuesta con una página HTML o datos y un código de respuesta. Si todo está bien, entonces el código de respuesta es 200; si no se encuentra la página, entonces - 404; si ocurrió un error y el servidor no pudo procesar la solicitud, entonces - 500. Estos son los códigos más comunes.
6. Almacenamiento en caché en aplicaciones web
Otra tecnología que encontramos constantemente, que está presente tanto en aplicaciones web y software, como a nivel de procesador en nuestras computadoras y teléfonos inteligentes.
La caché es un concepto en desarrollo cuando los datos de uso frecuente, en lugar de recuperarse de la base de datos cada vez, calcularse o prepararse de una manera diferente, se almacenan en un lugar de fácil acceso.
Todos los navegadores tienen habilitado el almacenamiento en caché de archivos estáticos de forma predeterminada. Gracias a esto, al abrir el sitio no por primera vez, todo se carga notablemente más rápido. La desventaja para el desarrollador es que con la caché habilitada, los cambios realizados en el código no siempre son visibles de inmediato.
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Postcards from El Paso: 1.) One of the coolest, most thoughtful gifts I have received was a stack of postcards from @teddyt, his bestie #EsmeBarrera & their friends from back home. "I got random El Pasoans & artists to write you notes on these postcards. Members of Sparta [also At The Drive In*], Modest Mouse, The Vue & other visitors wrote some too. Pretty Girls Make Graves & Mahjongg forgot to give me back their notes to you. ☹" 2.) Postcard from Teddy 3. & 4.) Postcards from Esme, one of the coolest ladies I've ever met. I was reminded of her today when I saw a @nobummersummer post. Ted said I reminded him of her, which is the highest compliment. 5.) A postcard from Sparta/At The Drive In lolllllll. 6-10.) More postcards from an awesome music scene & era in my life that left their mark on me. Thanks so much, Teddy TX/Brooklyn/now CT! I'll always love talking stories & sharing music w/ all of you. (at El Paso, Texas) https://www.instagram.com/p/BxnTb_dHIuc/?igshid=15ortgcg8osba
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1 mort, 3 blessés dans une fusillade dans le centre commercial d'El Paso: CBS News Flash 16 février 2023
1 mort, 3 blessés dans une fusillade dans le centre commercial d’El Paso: CBS News Flash 16 février 2023 – News 24 Regarder les nouvelles de CBS Une personne a été tuée et trois autres blessées lorsque des coups de feu ont éclaté dans un centre commercial à El Paso, au Texas. Deux suspects sont en garde à vue. Deux gardes nationaux du Tennessee ont été tués lorsqu’un hélicoptère Black Hawk…
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Llegando a Montreal. Vengo a cocinar al restaurante Chassez Galerie, de mi amigo Vianney Godbout. Es un menú de 6 tiempos super verga, mañana le paso las fotos. Llegué añoche, y estaba nevando. Cosa que festejé, porque en Monterrey cae nieve casi nunca y un ratito nadamás. Aproveché para dejar un bonitio mensaje en el parabrisas de un carro. Creo que tiene que ver con el hecho de que soy mexicano. En una de las fotos aparece el chef del restaurante, Alex Saint-Amant y Vianney, a los cuales les he enseñado algunas de las elegantes y expresivas señas que usamos en nuestro país y que, según les he explicado, quieren decir cosas como "somos amigos" y "mi corazón se llena de júbilo al verte". Y fíjese que "Montreal" y "Monterrey" tienen la misma etimología: el cerro del rey. Creo, incluso, que son ciudades hermanas y tienen una especie de convenio cultural. Algo así. En todo caso, Montreal es toda una experiencia, me encanta este lugar. Y el frió está de la verga pero lo estoy disfrutando muchísimo. Je suis tres heureux de revenir a Montreal, de retouver ce peuple chaleureux et vaillant, et tres excite en vue de notre evenement demain. (en Chasse - Galerie) https://www.instagram.com/p/BuKAvbvA4Z4/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=nfcxxj22ajmc
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Arrivée dans le Chiapas







Arrivée dans le Chiapas
Ce matin on se réveille de bonne heure pour aller à l'aéroport de Mexico car notre prochaine étape est l'état du Chiapas. Réputé pour son caractère indépendantiste (à la corse), on ne sait pas du tout à quoi s'attendre. On a lu tout et son contraire mais on retient que les habitants ici sont très attachés à leurs racines et coutumes amérindiennes, surtout leurs religions mayas et autres. L'état subventionne moins cet état que le reste du pays car il est considéré comme "contre le pouvoir". Donc on verra mais ça s'annonce intéressant.
On décolle à 10h15 ce matin direction la ville la plus importante du Chiapas : Tuxtla Gutierrez (500 000 habitants). Le vol se passe bien, en 1h30 on est arrivés. Vu d'en haut ça paraît très vert, montagneux. On prend un taxi (officiel de l'aéroport) vers la station de bus, à 40mn d'ici.
On a déjà nos billets pour un collectivo, à 15h pour Tonala, un "pueblo" plus au sud à 3h de route. Et oui notre point de chute se mérite : la rencontre avec l'océan pacifique dans un lieu retiré pour se reposer un peu.
La responsable de l' "hôtel" nous guide pour contacter un taxi une fois arrivés à Tonala, il sera là à l'heure (les mexicains sont super ponctuels). Une bonne chose de faite.
En attendant notre car, on en profite pour aller discuter avec une dame qui tient l'office de tourisme et savoir si ça le fait de conduire dans le Chiapas (car on était pas chaud vu les routes et les recommandations), pour savoir si c'était mieux d'annuler notre réservation de voiture.
Elle nous a déconseillé pour nos itinéraires car certaines routes peuvent être bloquées par des fonctionnaires manifestants pour un meilleur salaire, des blocages plus importants (imposant de faire des demi tour de plusieurs heures), et qu'il valait mieux trouver un point de chute et une agence qui gênerait nos déplacements.
Ok elle nous a bien rassuré du coup on annule la location et on prend le plan avec ses notes pour potasser tout ça.
Dans le collectivo, on voit bien que les routes sont dans un sale état et on croise plusieurs voitures militaires avec environ 5 militaires super armés debout à l'arrière, ça rigole pas.
2h30 plus tard, nous voici à Tonala. Le taxi est bien là mais l'état de la voiture laisse à désirer... Carglass en PLS à la vue de son pare brise... allez on en a pour un peu moins d'une heure pour rejoindre l'embarcadère "El Paso". Entre temps on récupère un autre passager pour le déposer un peu plus loin.
Le long de la route on croise de nombreux venezueliens qui traversent le Mexique pour arriver aux USA.
Heureusement qu'on a des autocollants de Jésus partout sur les fenêtres parce que je donne pas cher de cette voiture.
Robin me fait remarquer "il a même pas d'aiguille sur son compteur" (voir photo).. pas de compteur, pas de dépassement de limite de vitesse.
À l'heure prévue on arrive, et la lancha (petit canoë en bois) apparait avec Julian à bord.
On embarque pour 5mn sur la Joya avant d'arriver à Entremares, notre point de chute pour les 3 prochaines nuits.
On découvre notre cabane, Chachalaca et la proximité avec l'océan ; 1mn de marche. Un bien fou après une ville comme Mexico !

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